
« Par la sainteté,
cervelle et crottin de mon ânesse,
je te le jure à toi mon frère,
triste hibou solitaire, compagnon,
je te jure qu’il nous reste encore
les tétons de feu de la parole
pour nourrir la résistance
des causes du monde
déjà perdues. »


















Poème : Hawad (extrait de « Le Coude Grinçant de l’Anarchie »)
Photos : Manu et Malka























































