• Viêt Nam I

    Pays : République socialiste du Viêt Nam

    Période : 22/01/2024 – 14/02/2024

    Villes & alentours visités : Hô Chi Minh City (ex Saigon), Cần Thơ et Châu Đốc (Delta du Mékong), Nha Trang, Hội An, Huế.

    Kilomètres parcourus : ≃ 2600 (train, bus, scooter).

    Time Zone : UTC/GMT +7

    Météo : Très chaude et ensoleillée (sauf 3 jours froids et pluvieux à Huế).

    État mental : Perturbé.

    Citation : « Si on ne laisse pas au voyage le droit de nous détruire un peu, autant rester chez soi. » (Nicolas Bouvier)

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    Mon voyage au Viêt Nam en ce début d’année fut probablement l’un de mes périples les plus déroutants à ce jour : Chaleur écrasante, fatigue extrême, problèmes personnels, difficultés de communication, déplacements rocambolesques, harcèlement de rue (taxi-scooters, commerçants, dealers, filles de joies…) mais aussi paysages sublimes, atmosphères incroyables (notamment dans le delta du Mékong) et un dépaysement tel que je ne l’avais vécu qu’en Mongolie. Trois mois après mon retour, je ne sais toujours pas si j’ai aimé ou non ce voyage, mais la réponse se trouve probablement quelque part entre les deux.

    À travers trois articles essentiellement constitués de photos commentées, je vais rapidement revenir sur ce séjour vraiment spécial…

    Bientôt la suite.

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  • Corée du Sud, mars-avril 2023

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    Mon parcours : Seoul (14-19 mars), Gyeongju (19-22 mars), Busan (22-27 mars), Jeju (27-31 mars), Mokpo (31 mars-1 avril), Gwangju (1-4 avril), Jeonju (4-6 avril), Incheon (6-8 avril)

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    Début 2023, une envie d’Asie m’a fait réfléchir à un voyage en Corée du Sud. Je ne savais pas grand chose de ce pays – et encore moins de tout ce qui concerne la hype K-Pop – mais j’aime voyager vers des destinations inconnues. En règle générale, je pars, découvre et apprends sur place, puis je reviens plein de références littéraires, musicales, cinématographiques, qui me permettent ensuite de me passionner pour la culture de ces pays dont je ne savais presque rien quelques semaines auparavant.

    Rien ne m’avait donc prédestiné à aller en Corée du Sud, et j’ai d’ailleurs cru un moment que je ne pourrais finalement pas y aller ! En effet, des grèves ont éclaté dans les transports quelques jours avant mon départ et mon vol a été annulé. Je suis parti avec un jour de retard, j’ai eu droit à deux correspondances au lieu d’une seule, et je suis arrivé dans la matinée du 14 mars à Seoul après n’avoir dormi qu’un total de six heures sur les trois dernières nuits !

    Seoul est bien sûr inévitable si vous allez en Corée. J’ai longtemps vécu à Paris mais je dois dire que la capitale française est presque un village à côté de celle de Corée du Sud ! La ville seule compte 11 millions d’habitants, et on grimpe à plus de 27 millions en prenant toute son aire urbaine (qui englobe notamment Incheon, où se trouve l’aéroport).

    Il y a beaucoup de choses à faire dans cette immense cité. Elle compte des dizaines de musées – dont bon nombre sont gratuits – et des quartiers extrêmement différents les uns des autres. On y aime aussi beaucoup la fête et on y trouve des centaines de pubs, de restaurants, de clubs. Dès mon deuxième soir en ville, j’ai d’ailleurs été embarqué dans un karaoké après avoir trinqué au soju (alcool local très consommé) avec un jeune séoulite. Le lendemain, je me suis rendu compte que j’avais beaucoup dépensé car le coût de la vie en Corée du Sud est quand même assez élevé – surtout à Seoul – et je n’avais pas encore bien appréhendé la monnaie locale : le won (1€ ≃ 1400₩).

    J’ai déjà publié pas mal de photos dans mes précédents articles, La Corée et La Corée, la suite. Je ne les republierai pas ici, mais voici quelques autres images « inédites » de Seoul :

    Le 19 mars, j’ai quitté Seoul et pris un bus pour Gyeongju, dans le sud-est du pays. J’y suis resté trois jours, et cela a été une des étapes les plus marquantes de mon voyage.

    Gyeongju a longtemps été la capitale du Royaume de Silla, qui a existé dix siècles durant (57 av. J.-C. – 935 apr. J.-C.) et a englobé, à son apogée, une grande partie de la péninsule coréenne. Un nombre incroyable de vestiges de cette période sont encore debout, et les plus impressionnants sont probablement les innombrables tombes – ou tumulus mortuaires – qui jalonnent la ville et ses alentours. À Silla, en effet, on avait pour coutume d’enterrer les membres de la famille royale dans de grands tombeaux qui étaient ensuite recouverts de terre, formant ainsi de petites collines sur lesquelles la nature finissait par reprendre ses droits. Il y en a partout dans Gyeongju, plus ou moins grandes et parsemées d’arbres pour certaines…

    Gyeongju est donc une sorte de musée à ciel ouvert et une petite ville absolument magnifique. Pour ne rien gâcher, je me suis aussi retrouvé dans une des meilleures auberges de l’univers, la Doo-baki Guesthouse ! J’y ai vécu des trucs assez dingues et fait de superbes rencontres.

    Gyeongju :

    Après Gyeongju, je suis allé à Busan, un peu plus au sud. Busan est la deuxième plus grande ville de Corée du Sud, elle compte plus de 3 millions d’habitants, c’est donc une très grosse ville. J’y ai passé cinq jours, logeant dans le quartier du port, un quartier très étrange, dans un motel quasiment vide. Je n’y ai en tout cas rencontré personne, pas même du personnel !

    Le gros point fort de Busan, c’est son bord de mer : plusieurs dizaines de kilomètres de côte, des plages disséminées un peu partout et des vagues qui viennent parfois presque lécher les pieds des immenses buildings de verre. C’est ce qui m’a marqué sur la plage de Haeundae : la proximité entre la ville et la mer. À marcher sur cette maigre bande de sable, j’avais parfois l’impression que je n’allais pas tarder à me faire engloutir par l’un ou l’autre des deux colosses se faisant face : la mégacité Busan d’un côté, toujours plus étendue et puissante, et la sombre et profonde Mer de l’Est de l’autre, dont les eaux s’élèvent tout doucement…

    C’est peut-être la peur d’être englouti qui a fini par me faire quitter la ville en avion… mais aux dernières nouvelles, les plages de Busan sont toujours là…

    En vérité, j’aurais aimé rejoindre l’île de Jeju en bateau, mais l’unique compagnie opérant sur ce trajet avait annulé tous ses ferrys pour une raison obscure… C’est donc à l’aéroport de Jeju City que j’ai débarqué le 27 mars au soir pour un court séjour (quatre nuits) sur cette île un brin paradisiaque.

    Paradisiaque pour sa nature, ses paysages hallucinants, son bord de mer avec ses bars & restaurants cools et accueillants, et bien sûr pour sa montagne Hallasan, au centre de l’île, dont le sommet est le point culminant de toute la Corée du Sud.

    Par contre, Jeju n’a rien d’une île déserte, elle compte 680 000 habitants à l’année et est le lieu de villégiature de presque tous les coréens continentaux. En apprendre plus sur l’histoire de l’île et sur la répression féroce dont elle a été victime durant la dictature (des dizaines de milliers de morts après un soulèvement en 1948) donne aussi à nuancer le mot « paradisiaque » qui, je l’avoue, est le premier qui me vient à l’esprit lorsque je veux parler de Jeju. Mais le fait est que j’y ai passé quatre jours exceptionnels et qu’il s’agit vraiment d’un endroit où j’espère pouvoir retourner un jour.

    Pour quitter l’île, j’ai cette fois-ci pu prendre un ferry. Cinq heures de « route » sur la Mer Jaune, c’était magnifique.

    Voici quelques photos de l’île et de mon trajet en ferry :

    Après une nuit à Mokpo, où mon ferry est arrivé en fin de journée, je suis parti pour la ville de Gwangju dans la province du Jeolla.

    La Jeolla du Sud est une région à part en Corée. Pour des raisons politiques, elle a en effet longtemps été négligée et ce n’est pas un hasard si c’est dans sa plus grande ville, Gwangju, qu’a eu lieu l’un des plus importants soulèvements populaires contre de la dictature de l’histoire récente de Corée du Sud, en mai 1980.

    Ce mois-ci, le 18 exactement, suite à l’instauration de la loi martiale dans tout le pays, des centaines d’étudiants, puis des milliers de citoyens de la ville, se dressent contre l’armée et la dictature du général Chun Doo-hwan, arrivé au pouvoir à la suite d’un coup d’état. Dès les premières manifestations pacifiques, la répression est meurtrière et sanglante poussant les citoyens à s’armer pour se défendre. Largement soutenus et aidés par la population, des comités d’insurgés se constituent et prennent le contrôle de l’hôtel de ville. C’est ici qu’ils établiront leurs revendications, qu’ils rêveront d’une société plus juste et plus démocratique, qu’ils se battront et qu’ils mourront lorsque, le 27 mai 1980, après neuf jours de révolte, l’armée pénétrera dans la ville pour y perpétrer un véritable bain de sang. Encore aujourd’hui, les chiffres sont sujets à caution : au moins 240 morts et disparus, mais certaines études en évoquent plus de 2000 sur l’ensemble de la période insurrectionnelle…

    Longtemps considérée comme une ville de seconde zone, Gwangju est aujourd’hui regardée comme le berceau de la démocratie en Corée du Sud et son soulèvement de 1980 est salué comme un sacrifice héroïque par l’ensemble de la société coréenne.

    Au-delà de cela, Gwangju est une ville très vivante et à la riche activité culturelle. L’atmosphère générale y est vraiment surprenante, très différente de tout ce que j’avais connu depuis le début de mon voyage. Mon auberge se trouvait à deux pas du Penguin Village, un quartier haut en couleurs, plein de décorations et de graffitis, c’était vraiment spécial ! Durant mon séjour en ville, j’ai visité plusieurs des lieux dédiés au soulèvement du 18 mai mais aussi l’Asia Culture Center, un immense complexe hébergeant, entre autre, plusieurs musées gratuits, une grande bibliothèque et une salle de spectacle. J’ai aussi randonné dans la Mudeungsan, la montagne qui borde la ville. Bref, ce furent trois jours bien remplis !

    Le 4 avril, je suis passé du Jeolla du Sud au Jeolla du Nord et j’ai rallié Jeonju. Je n’y suis resté que deux jours, et ce furent deux jours de pluie. J’ai peu profité de la ville à cause de cela, même si j’ai quand même pu aller marcher et découvrir quelques jolis coins. Mais pour le coup, ce qui m’a le plus marqué à Jeonju, c’est l’accueil que j’ai reçu à la Jeonju International Guesthouse, où le propriétaire des lieux a tenu à m’offrir un petit déjeuner, un repas ainsi que pas mal de verres d’alcool locaux dans le seul but de converser avec moi et de me faire découvrir quelques spécialités coréennes. Il m’a aussi renseigné sur beaucoup de choses et aurait certainement fait encore plus si j’avais pu rester plus longtemps.

    Mais j’avais un avion à prendre le 8 et je suis donc remonté dans la capitale le 6. J’ai pris un motel à Incheon, une très grande ville en banlieue de Seoul. Jamais je ne m’étais retrouvé dans un hôtel pareil. Ma chambre était immense, avec un grand plafonnier et une télé non moins gigantesque. Quant à la salle de bain, on aurait pu tenir à trente dedans. Robinets dorés, tapis, tableaux, peignoirs au nom de l’hôtel, la déco se voulait luxueuse mais tout cela sonnait terriblement faux. J’avais l’impression d’être dans le décor en carton d’un film de mafiosi des années 80 ! Et de fait, sous les multiples couches de peinture « or » il n’y avait que de la rouille, et tout était un peu bancal et mal foutu… Ou comment essayer de donner l’illusion d’être un hôtel de luxe quand on n’est en vérité qu’un motel pas cher, perdu très loin des quartiers touristiques de Seoul. J’ai donc adoré !

    Je suis retourné un peu à Seoul, j’ai marché sur mes propres pas et j’ai passé ma dernière soirée sur les bords du fleuve Han (ou Hangang) qui traverse toute la capitale d’est en ouest puis se jette dans la Mer Jaune. À l’ouest, là où je rentre.

    Pour finir, je n’ai évidemment fait que survoler mes aventures et l’histoire des différentes villes que j’ai traversé dans cet article. Si vous voulez des informations pratiques ou discuter plus largement de sujets brièvement évoqués, les commentaires sont ouverts et ma boite mail aussi : manu.hollard@iiiha.com

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  • La Corée, la suite

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    Le 1er avril 2023, en plein voyage, j’ai écrit un très court article qui revenait sur mes deux premières semaines en Corée du Sud. J’en avais promis la suite « un jour », ce jour est venu !

    Dans un souci de lisibilité, j’ai postdaté le premier article pour qu’il apparaisse juste avant celui-ci sur le blog. Un troisième article suivra dans la foulée, il reviendra sur l’ensemble du voyage de manière plus détaillée.

    Quand j’en aurai fini avec ça, je publierai enfin les 3 (+ 1) ultimes articles de la catégorie 100 jours dans les Balkans.

    Lien vers le premier article : La Corée

    Voici donc quelle a été la suite de mon parcours : 
    Mokpo : 31 mars-1 avril
    Gwangju : 1-4 avril
    Jeonju : 4-6 avril 
    Incheon : 6-8 avril

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    Prochain article en fin de semaine prochaine…

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  • La Corée

    (Postdaté le 7 octobre 2023)

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    Au fait, depuis le 14 mars je suis en Corée du Sud !

    Entre deux posts sur les Balkans, voici donc quelques photos et un field recording venu du pays du matin calme, en attendant que j’ai le temps de faire de vrais articles sur ce pays aussi… Un jour peut-être 😉

    La mer à Haeundae Beach, Busan :

    Mon trajet pour le moment :
    Seoul : 14-19 mars
    Gyeongju : 19-22 mars
    Busan : 22-27 mars
    Jeju Island : 27-31 mars

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  • To the Black Sea

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    Lorsque j’ai entamé mon voyage dans les Balkans l’an dernier, j’ai dans un premier temps envisagé de traverser toute cette partie de l’Europe jusqu’à atteindre la Mer Noire mais, sur la route, différentes discussions, rencontres et divers événements m’ont finalement convaincu de rester dans la zone « ex-Yougoslavie ».

    Du coup, quand je suis reparti « vers l’est » cette année au mois de juin, j’ai décidé d’aller tout droit (ou presque) jusqu’à la côte roumaine qui borde la Mer Noire.

    J’ai mis huit jours à atteindre la Roumanie avec des arrêts à Munich (Allemagne), Bratislava (Slovaquie), Györ (Hongrie) et Budapest (Hongrie). Ça a été une semaine excellente et j’ai adoré la plupart de ces villes, mais vu que l’essentiel de ce voyage s’est déroulé en Roumanie – où je suis resté plus de trois semaines – c’est sur ce pays que je vais centrer mon article.

    Les suites et fins de mes autres récits de voyages finiront bien par arriver un jour !…

    Timișoara :

    J’ai passé quatre jours incroyables à Timișoara – capitale européenne de la culture 2023 – où je me suis trouvé durant le JAZZx festival. J’y ai découvert (ou redécouvert) des groupes exceptionnels comme Shakti, The Comet is Coming, le Tigran Hamasyan Trio, Ezra Collective mais surtout Mammal Hands qui m’a fait une énorme impression et dont j’ai immédiatement téléchargé le dernier album qui est devenu la bande-son de mon voyage ! Deep within Mountains – en écoute ci-dessus – en est mon morceau préféré…

    Arad :

    Oradea :

    Oradea, ville toute proche de la frontière hongroise, fut en vérité la dernière étape de mon expédition en Roumanie, mais j’ai décidé de raconter ce voyage d’ouest en est – « jusqu’à la Mer Noire » – donc les villes n’apparaitront pas dans l’ordre dans lequel je les ai visité !

    Cluj-Napoca :

    Sibiu :

    J’avais deux idées fixes durant ce voyage, la première était de me baigner dans la Mer Noire, la deuxième de randonner dans les Carpates. Sibiu, où je ne suis resté qu’une nuit, a été ma porte d’entrée dans la région. Le lendemain, après un paquet d’heures de train (le train en Roumanie est une aventure à ne surtout pas rater !), j’étais à Braşov, aux pieds des montagnes.

    Braşov :

    Au cœur des Carpates…

    Piatra Neamț :

    Carpates orientales, nord-est de la Roumanie.

    București (Bucarest) :

    Je suis resté quatre jours dans la capitale roumaine. Beaucoup d’expos, de musées, de marche et de métro. Mais peu de photos pour le coup…

    Iași :

    Iași est située à une vingtaine de kilomètres de la frontière moldave, l’ambiance y est très différente des autres villes que j’ai visité et j’ai vraiment adoré. J’y ai passé trop peu de temps, je me suis promis d’y revenir un jour où j’irai jusqu’en Moldavie… À suivre !

    Eforie :

    Eforie se divise en deux partie (Eforie Nord et Eforie Sud) et se situe juste en dessous de Constanța, la plus grande ville roumaine de la côte. J’y suis arrivé le 11 juillet et y suis resté 3 jours, j’avais alors parcouru plus de 2500 kilomètres. Mon objectif atteint, je me suis posé sur la plage dans le coucher de soleil et j’ai profité du spectacle avant d’aller nager dans la mer. C’était cool.

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    J’ai été en Roumanie du 28 juin au 21 juillet (mon voyage complet a duré du 20 juin au 22 juillet) et j’ai vraiment beaucoup aimé ce pays et fait de belles rencontres. Je n’ai pas encore fait le tri des enregistrements audio que j’ai réalisé sur le terrain, mais je sais qu’ils contiennent beaucoup de musique… Je verrai tout ça en rentrant du prochain voyage !

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  • Collages

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    Je ne suis pas trop du genre à ramener des cadeaux et des « souvenirs » quand je rentre de voyage. Par contre, j’ai tendance à garder dans un coin de mon sac mes billets de train, tickets de caisse, flyers, plans de ville, horaires de bus…

    Cela faisait longtemps que j’avais en tête de réaliser un collage de tous ces papiers conservés pour certains depuis presque dix ans. Je m’y suis enfin mis cette année et, courant mai, j’ai réalisé ces deux affiches qui contiennent donc les fragments volants d’une décennie de voyage dans une grosse quinzaine de pays.

    Les collages originaux font 50 x 65 cm, je les ai fait imprimer et scanner début juin. À la fin de ce même mois je repartais sur les routes avec dans l’idée de traverser l’Europe et d’atteindre la Mer Noire. Un objectif dont je ne suis maintenant plus très loin, puisque j’écris ces quelques lignes de Bucarest.

    Voici donc les deux collages en format numérique :

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    2014 – 2023 (STREET $1 SHEET)

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    2014 – 2023 (TIME 12:30)

    À retrouver aussi sur Twitter et Instagram.

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  • Rijeka

    13 – 16 juillet 2021

    (suite…)

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  • Zadar (Luka Modrić, l’orgue et le sphinx)

    16 – 19 juillet 2021

    Après trois jours et trois nuits à Rijeka, nous sommes partis pour Zadar, une ville dont le nom nous faisait penser à celui d’une planète dans un livre ou un film de science-fiction, un peu comme Oulan-Bator…

    Déroulé de la bande-son : 0,00-0,40 : Ambiance cosy bar quartier historique. 0,24-2,08 : Orgue marin de Zadar. 1,52-4,14 : Groupe traditionnel inconnu jouant pour un mariage. 3,32-5,37 : Les cigales et la mer.

    (suite…)

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