Zonards des grands Z'espaces
La mer se brisant contre les rochers sur l’estacade de Capbreton :
C’est les pieds plein d’ampoules, de pansements, de sparadrap et de compresses que j’ai couvert les quatre kilomètres qui séparaient la surfhouse où je dormais, à Soorts-Hossegor, d’un des derniers « objectifs » de mon voyage : la jetée (ou estacade) de Capbreton.
Le nom de Capbreton n’a rien à voir avec la Bretagne, c’est en fait une déformation de l’ancien nom du village : Cabertou ou Cap Bertou. L’estacade, construite en 1858, a été plusieurs fois détruite par des tempêtes et par la guerre, reconstruite à chaque fois, elle est aujourd’hui un des hauts lieux de la ville et offre un spot magnifique.
Arrivé là, j’ai su que j’étais au bout de mon trip, que j’avais vu ce que j’avais envie de voir et fais ce que j’avais envie de faire, même s’il me restait encore une journée de marche jusqu’à Bayonne le lendemain, une marche que j’ai d’ailleurs considérablement raccourci à cause d’un début d’entorse à la cheville gauche et de deux pieds quasiment hors d’usage !
Sur la photo suivante, on peut voir un pêcheur à pieds dans les rochers avec sa lampe. Dans des coins comme ça, le pêcheur à pieds se cale sur les rochers à marée haute et attend les grosses vagues qui charrient crabes, bigorneaux, ormeaux et autres êtres étranges, il saute ensuite de caillou en caillou pour les ramasser rapidement. Ça avait l’air plus rock n’ roll que la pêche « normale » !
Mais il y avait aussi des pêcheurs « normaux » !
D’autres photos de Capbreton ici : Il n’y a pas de fin – Part. 9 (Jour 12)
en direct, quasi Manu, sous le son des vagues en vibrations totales!!
je suis dans ma campagne, adoncques nin en bord de mer, rin à voir et vide dément et pourtant!…
ce soir, je viens d’apprendre la mort d’un de mes amis, normal, je vieillis.. eux-aussi, … MAIS!!! …mi je tiendrais jusque 96 ans!!…., oauarf! le prétentieux (un grand rêve, simple pour qui sait ce qu’est un rêve initiatique re ouarf!)…
et alors, je vous pisse à la raie ceux ki doutent, mi je vais tenir comme çi comme ço dans l’imaginaire, au début… soit mais le réel, les moulons c’est koi??…
bon, je mais gare de Perpignan Dalirant etc pis merdre fais kier de remettre déjà cinq fois le son, GÉANT, là t’es dans une épuration SUBLIME!
tu ne produis même pue rin, juste tu retranscris l’harmonie du multivers, alors là chapeau bas biloute, mi nin encore à ce point et poing, trop Narcisse et égocentriste, sûrement, l’illumination pour moi dans une autre vie, fais KIER!,toi putois! plus proche que moi du Nirvana… nana!!
bon le kon, j’ai parlé de moi, s’cuse’, mon pote mort, non?
m’a fait m’épancher mais BRAVO pour votre bouleau sans peuplier, hélas si peu suivi, fuck the phoques, mais pas grave, on s’en tapise « les génies » comme nous, on crache, on exulte, on vibrionne, on PULSE jusqu’aux fins fond des galaxies, on conchie l’entropie et la troisième loi de la thermodynamique, on est totall recall, néguentropie et tout le cirque du multivers et de son anneau de Möbius ou Ouroboros, ou yin yang ou etc. etc….
merdre plus de place, fuck the phoques et vire mon texte s’il fait trop tâche dans ton « cirque’, je m’en tapise!
bises, les moulons, Pastèque! DÉFONCÉ? … et vide dément, les moulons!!!
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Tes commentaires devraient être des articles publiés sur le Grand Blog des Barjots, suivi par tous « les Dingues & les Paumés » du multivers !
Bises Patoche, bon courage, en espérant qu’on se revoit bientôt, dès que j’aurais traversé la phase asociale dans laquelle je suis en ce moment. Tu connais le slogan : « Sometimes antisocial, always antifascist! »
Manu
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Je connais bien cette promenade depuis que je suis petite ! Merci pour ce partage poétique
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Qu’elle est belle cette estacade ! Je ne suis jamais allée a Cap Breton, mais vos photos me donnent envie…
Aurélie.
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Descendre jusqu’à Hossegor puis contourner le port sur 3 ou 4 kilomètres pour atterrir en plein sur l’estacade, un vrai régal pour les yeux !
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