• Scott H. Biram : Sinkin’ Down live

    Version démente de « Sinkin’ Down », un des meilleurs morceaux de Scott H. Biram, en live en 2010 à Paris. Avec la satisfaction de pouvoir dire : « J’y étais ! »

    Some day
    Some how
    I’m gonna make it go away
    I been chasin’ these same old dreams around
    Seems like forever and a day
    Slippin’ down an old road again
    Seems like I been this way before
    This same old story’s like an old broken record
    All the edges of my memories are worn

    Steppin’ out
    And fallin’ down
    Through all the misery and sin
    I’m sinkin’ fast in this old quicksand ground
    Wish I could remember
    What I had to do to live
    Just like I did when I still had a handful of friends
    Hey!

    On the dawn
    There’s a brand new horizon
    It couldn’t be any worse than yesterday
    Still in your heart
    It’s just one more tomorrow
    You gotta keep on beatin’ down the day
    I keep starin’ up at the judge
    Who says he won’t let me find my way
    Hey!

    Steppin’ out
    And fallin’ down
    Through all the feel good and pain
    You take me in and you, spit me out
    Drag it out just like a ball and chain
    Would you believe some of my so called best friends
    Don’t even know my name
    Yeah!

    Some day
    Some how
    I’m gonna make it go away
    I been chasin’
    These same old dreams around
    Seems like forever and a day

    . . .

  • Love Minus Zero / No Limit (Bob Dylan)

    Amour moins zéro / Aucune limite

    Mon amour parle comme le silence,
    Sans idéaux ni violence,
    Elle n’a pas à dire qu’elle est fidèle
    Elle est vraie, comme la glace, comme le feu.
    Les gens portent des roses,
    Font des promesses à toute heure,
    Mon amour rit comme les fleurs,
    Les Valentins ne peuvent pas l’acheter.

    Dans les boutiques et aux arrêts d’autobus,
    Les gens parlent de la situation,
    Lisent des livres, répètent les citations,
    Dessinent les conclusions sur le mur.
    Certains parlent de l’avenir,
    Mon amour, elle, parle doucement,
    Elle sait qu’il n’y a aucun succès comme l’échec
    Et que l’échec n’est pas un succès du tout.

    Le manteau et le poignard pendent,
    Les dames allument les bougies.
    Dans les cérémonies de cavaliers,
    Même le pion doit tenir sa place.
    Les statues faites de bâtons d’allumettes,
    S’écroulent les unes sur les autres,
    Mon amour cligne de l’œil, elle ne s’en occupe pas,
    Elle en sait trop pour argumenter ou juger.

    Le pont tremble sur le coup de minuit,
    Le médecin de campagne vagabonde,
    Les nièces des banquiers cherchent la perfection,
    Attendant les dons qu’amènent les hommes sages.
    Le vent hurle comme un marteau,
    La nuit souffle le froid et la pluie,
    Mon amour est comme un corbeau
    A ma fenêtre avec une aile cassée.

    Traduction de P. Mercy, avec quelques modifications de ma part…

    Les vidéos live partagées lors de la création de cet article ont été supprimées par Youtube, j’en mets donc deux nouvelles qui sont uniquement sonores…

    Version live de 1975  :

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  • Exuma, live 1972

     

    Setlist :
    0:00 : Brown Girl (from the album « Reincarnation », 1972)
    2:48 : Attica (from the album « Snake », 1972)
    8:00 : Pay Me What You Own Me (from the album « Reincarnation », 1972)
    11:58 : Empty Barrels (from the album « Reincarnation », 1972)
    16:28 : Exuma, The Obeah Man (from the album « Exuma », 1970)

    Musicians :
    Achmed Ben Mansel (Yogi Bagabby) : Tambourine, maracas, etc.
    Kester Smith : Drums
    Michael O’Neil (Ouimungie Pappa Legba) : Saxophone & congas
    Tony McKay AKA Exuma : Vocals & guitar

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